Les Aventures De Dje Ep 72 : Calin

LES AVENTURES DE DJE
Ep 72 : CALIN


Antoine avait bien apprécié cette rencontre avec Raphaël. En faisant son footing le lendemain matin il ne pensait plus qu'à Raphaël. Pour être un bon gigolo il faut être bien bâti, et Raphaël était très bien bâti !

Il faut aussi avoir une bonne tête et être très beau. Et celui-là il était vraiment très beau et il avait une très bonne tête.

Il n'est pas non plus inutile pour un bon gigolo de savoir faire jouir sa ( ou son ) partenaire … Et Antoine m'a garanti par la suite que celui-ci n'était pas seulement bien foutu il était très bien membré et il savait aussi très bien se servir de sa queue !

Bref c'était l'homme idéal...

Avec ou sans défaut ? …

Avec ! Il ne fallait pas en douter … Il était vénal, arrogant, suffisant, capricieux … Mais c'était un bon coup !

Valérie était le genre de femme à avoir la tête sur les épaules et elle savait parfaitement à quoi s'en tenir au sujet de son mari. '' Je serais étonné qu'il se soient mariés sans contrat ces deux là !''. Se disait Antoine !

Quelques jours passaient. Valérie semblait embarrassée quand elle revoyait Antoine. Mais celui-ci tentait de la mettre à l'aise en ne parlant pas de la soirée précédente, je veux dire par là la soirée chez Valérie pas la fin de soirée chez lui bien sûr.

Il revoyait également Raphaël mais lui ne montrait aucune gêne, il avait même ce petit sourire qui semblait lui dire … '' On recommence quant tu veux bonhomme ! ''. Antoine ne le décourageait pas, il avait bien aimé.

C'est pendant un de ces entraînement qu'Antoine voyait une de ces petites affiches qui étaient apposée un peu partout et qui annonçaient les activités et les distractions. On organisait une compétition sportive, un jeux un peu comme ceux qu'on voit à la télé. Les participants commencent par une course à pied, ils doivent aller chercher un objet plus ou moins lourd, plus ou moins gros.

Ensuite ils plongent dans un lac infesté de crocodiles puis grimpent sur une liane, ils doivent alors se balancer pour traverser une rivière remplis de piranhas assoiffés de sang. Suivent alors des combat à la lance,combats de boxe pour se terminer, toujours, non pas dans un bain de sang mais dans le grand bain dans la piscine et toujours, et là c'est inévitable, dans de nombreuses éclaboussures …

Je rassure mes lecteurs les plus sensibles … Les piranhas sont végétariens ! Enfin cette espèce là est végétarienne. On m'a même dit que ce n'était que des poissons rouges …

Vous imaginez bien qu'Antoine n'hésitait pas à s'inscrire. En course il était champion, en natation aussi, il faisait aussi de la lutte, de la varappe et quelques autres sport pour se distraire …

Tous ceux qui l'avaient croisé depuis son arrivée dans ce parc de vacances , et toutes celles aussi, l'avaient remarqué. Son physique n'était pas ordinaire, il avait une musculature de champion … Normal c'était un champion … Il avait un très beau visage, un sourire qui retournait toutes les filles et quelques garçons aussi et en plus il bougeait bien … Le mec sexy quoi !

Le jour venu tous les participants arrivaient en tenue de sport qui les mettaient bien en valeur, ils étaient tous à la hauteur, pour participer il fallait être un minimum sportif. Plusieurs moniteurs du parc étaient inscrits. Antoine se faisait remarquer au milieu de tout ce beau monde. Non pas que sa tenue était excentrique mais il était un peu plus musclé que les autres participants. La réaction des spectatrices n'était pas toujours discrète.

La première épreuve était une épreuve de course suivie d'un plongeon dans le lagon ( une piscine gigantesque de forme circulaire et remplie de poissons ) puis d'une course de natation … Les deux disciplines qui lui avaient valu plus d'une médaille … la course était lancée, chacun, chacune encourageait son favori mais le nom qu'on entendait le plus fort c'était … '' … Antoine … Antoine … ''.


Il était le plus rapide au départ et en quelques secondes un belle distances s'installait entre lui et le second, à chaque foulée, cette distance grandissait. C'était des cris d'acclamation qui portaient Antoine ( et son entraînement quotidien peut être aussi ). La partie course à pied se terminait par un promontoire un peu comme l’extrémité d'une jetée à environ trois mètres au dessus de l'eau.

Antoine ne ralentissait pas, contrairement à la plupart des autres participants qui suivaient, il se lançait dans le vide à pleine vitesse, les filles hurlaient ( quelques garçons aussi ), il faisait deux pirouettes complètes sur lui-même puis une entrée dans l'eau parfaite trois mètres plus bas. Dans le public c'était des acclamations. Il ressortait à la surface de l'eau plus de dix mètres plus loin et continuait la course en crawl. C'est quand il arrivait au milieu de la partie aquatique que les premiers suiveurs plongeaient à leur tour … Au moment ou le second de la course sortait la tête de l'eau à la fin de son parcours il n'entendait que les acclamations '' Antoine … Antoine … Antoine … '' pourtant lui ne s'appelait pas Antoine !

Mais notre ami Antoine avait eu le temps de se sécher et répondait aux acclamations en levant les bras et en faisant le V de la victoire.

Suivait une sorte de bataille navale, là c'était beaucoup plus drôle. Chaque participant prenait place sur une plate forme à l'avant d'un petit bateau et deux par deux se livraient à une joute dont le but était de pousser à l'eau l'adversaire. Oui je sais l'idée est déjà ancienne, autrefois on le faisait avec des chevaux, les cavaliers étaient en armure … Mais là les lances était rembourrées d'une mousse épaisse qui flottait, histoire de ne pas se faire mal.

Antoine s'en sortait un peu moins bien, il n'était que deuxième mais s'il ne parvenait pas toujours à pousser son adversaire il savait tomber dans l'au avec beaucoup de dignité. Il terminait toujours ses chutes en plongeon qu'il réussissait parfaitement, il n'y avait pas une éclaboussure de trop et c'était autant les rires, les applaudissements que les acclamations qui rythmaient cette épreuve …

Antoine terminait en troisième position.
Juste derrière un petit maigrichon tous mince mais très agile et un balaise énorme avec une masse musculaire presque anormale. Il était vraiment balaise et à ce jeux personne n'avait réussi à le renverser, il était le seul qui terminait cette épreuve complètement sec. Les regard des spectatrices devaient se promener sur toute cette musculature mais les regards d'Antoine s'arrêtaient sur la bosse de son entre jambe … '' Si tout est aussi musclé chez lui, ça vaut la peine de s'attarder sur le sujet '', se disait Antoine !

L'épreuve suivante était une épreuve de lute. Bon on se calme, il ne s'agit pas de se taper dessus, les organisateurs n'oseraient pas proposer une telle activité. Les participants devaient traverser une rivière infestée de piranhas affamés ( je sais ils nt encore, c'est bien une variété de piranha mais ceux là sont végétariens et n'ont jamais mordu personne ) les pont pour traverser étaient mobiles, constitué de gros boudins de mousse à l'horizontale, certains pouvant tourner autour de leur axe dans un sens ou dans les deux sens, des plateaux circulaire, mobiles ou pas. Des lianes qu'il fallait attr pour passer en se balançant. Il y avait aussi des massues ( en mousse ) pour retarder l'adversaire. Chaque participant devait affronter tous les autres participants l'un après l'autre, cette épreuve serait à n'en pas douter longue et pleine de fous rires.

Le gros costaud balaise devait affronter Antoine, et Antoine il faut bien le dire n'y croyait pas trop. Trop balaise, le gars est impossible à renverser … Mais là c'était une autre histoire, toute l'installation était généreusement arrosée pour rester bien glissante. Antoine, sans doute trop sûr de lui, posait le pied sur la première plate forme, glissait et se retrouvait dans l'eau deux mètres plus bas. Son adversaire était plié de rire avant de glisser à son tour et d'aller rejoindre Antoine avec les poissons rouges ( J'avais dit piranha ? … Peut être pas finalement … Ça existe des piranha de couleur rouge ? ).


Il avaient droit à plusieurs essais. Antoine et son adversaire faisaient très attention cette fois ci. Antoine s'avançait sur un de ces boudin horizontal son adversaire avait pris un peu d'avance et l’attendait un peu plus loin avec une massue ( toujours en mousse ). Au moment ou Antoine arrivait à sa hauteur, il levait la massue, se déséquilibrait et plongeait de nouveau tout seul sans que personne ne le pousse. Là c'était Antoine qui était à son tour plié de rire, il perdait l'équilibre et allait rejoindre son adversaire dans l'eau.

Finalement aucun des deux n'a traversé !

Si ces deux participants s'étaient fait remarquer lors des premières épreuves en se plaçant dans les premiers. Ils se faisaient également remarquer mais cette fois en se classant dans les derniers … Zéro points mais beaucoup d'éclats de rire. Pendant qu'ils étaient dans l'eau ils en profitaient pour faire un peu plus connaissance.

Bryan était un peu plus vieux qu'Antoine, il faisait lui aussi du sport et en particulier de la musculation ce qui expliquait sa carrure. Il travaillait dans le bâtiment, célibataire … Il insistait sur ce dernier point …

Antoine : Et tu viens souvent passer des vacances ici ?
Bryan : C'est la première fois … Et toi ?
An : Pareil, j'avais envie de passer des vacances tranquilles.
Br : Tu n'aimes pas voyager ?
An : Pourquoi tu dis ça ?
Br : Ici, c'est un peu voyager mais sans aller loin. Il y a une rivière de piranha …
An : Ce sont des poissons rouges !

La discussion continuait ainsi encore un long moment ! Le soir ils se retrouvaient au restaurant '' La jungle sauvage ''. Un restaurant qui se trouvait au milieu de la zone boisée. Le vainqueur gagnait une soirée à ce restaurant pour deux personnes et Antoine avait donc invité son adversaire Bryan.

Le regard de Bryan disait tout, sa manière de regarder Antoine était une promesse de se retrouver ce soir dans le même lit. '' Je vais m'en prendre plein le cul … ! ''. Se disait Antoine. Il portait un dispositif de chasteté depuis des mois et sa situation de passif ne lui déplaisait pas. C'était devenu une habitude, et comme il ne pouvait rien faire de sérieux avec une fille il se rapprochait de plus en plus des garçons. Bien bâtis c'est mieux, et comme Bryan est dans le bâtiment ... Bien monté c'est encore mieux, c'est même une évidence et la bosse que Bryan semblait dissimuler sous son short, et ce soir là sous son pantalon, était prometteuse et laissait déjà Antoine imaginer des plaisir profonds intenses et violents peut être.

La sortie du restau était détendue, et les vestes se retrouvaient sur les épaules. Ils faisaient un arrêt dans un bar sur le chemin qui conduisait au lagon sauvage ( une autre piscine, il y en avait plusieurs dans le parc ). Cette plage était volontairement moins équipées, il y avait tout ce qu'il fallait mais juste derrière la ligne des premiers arbres, depuis la plage on ne pouvait voir aucune installation et on pouvait facilement se croire sur une plage sauvage totalement isolée.

C'est à cet endroit que les mains se sont touchées. C'est Bryan qui en premier posait la sienne sur celle d'Antoine, le geste aurait presque pu passé anodin mais le sourire d'Antoine à ce moment invitait Bryan à continuer, à ne pas se sentir obligé de s'excuser ou à retirer sa main …

Les deux garçons savaient prendre leur temps, ils savaient ne pas se précipiter l'un sur l'autre. Antoine sentait sa queue se révolter, plus, beaucoup plus que quelques temps plus tôt avec Raphaël. La pression était intense, et la frustration totale.

Il s'approchaient doucement l'un de l'autre. Pas de main au panier, comme on dit communément, et au moment ou ils échangeaient leur premier baiser leurs corps se touchaient à peine. Antoine sentait la chaleur et la force de son partenaire. Avec son costume, chemise, veste celui-ci paraissait tout à fait élégant mais il suffisait de le frôler à peine pour ressentir sa force animale, la force de tous ses muscles, il était beaucoup plus musclé qu'Antoine.

Antoine se sentait tout petit, tout menu, tout fragile en face d'une telle masse musculaire et ça c'était nouveau pour lui. C'est un bel athlète Antoine et en général c'est lui qui impressionne, c'est pas lui qui est le plus impressionné. Sa queue protestait, son cœur battait fort et quand il posait sa main sur l'avant bras de Bryan il ressentait que son camarade devait être dans le même état.

Sa main caressait l'avant bras de Bryan, musclé, de très grosse taille, recouvert d'une petite fourrure particulièrement douce. Antoine se disait que si son copain donnait un peu dans le genre ours, c'était surtout dans le genre nounours … '' Et en plus un nounours qui a une fourrure très douce … ''. Et il ne pouvait se retenir d'y déposer un baiser, une caresse sur l'avant bras puis un baiser … Bryan lui répondait en lui passant l'autre main dans les cheveux !

Ils se tenaient dans les bras l'un de l'autre mais sans se serrer l'un contre l'autre. Antoine avait deviner à la bosse que Bryan ne pouvait plus dissimuler dans son pantalon qu'il éprouvait la même chose que lui, mais Bryan n'avait pas le même dispositif pour cacher pudiquement la monté de son désir et Antoine ne voulait pas l’embarrasser, surtout que c'était prometteur.

Ils avançaient lentement sur le bord de l'eau, pieds nus, pantalons remontés, ils étaient désormais collé l'un à l'autre. Ils se tenaient par la main, les caresses restaient douce, à peine si une main osait remonter jusqu'au bras du partenaire.

Un baiser, oui encore un baiser déposé sur les lèvres d'Antoine avec une extrême douceur au moment ou sa main se déposait doucement sur le torse de Bryan. Doucement, timidement la main frôlait juste le torse, le téton de Bryan, il durcissait ou se redressait mais c'est vrai qu'il y avait du muscle.

Antoine montrait lui aussi une belle bosse au niveau de son pantalon, il bandait. Normalement rien ne ressort mais la tension était trop forte et le dispositif se redressait et poussait contre son pantalon. À cet instant on pouvait douter qu'il portait un dispositif de chasteté PK. Antoine baissait les yeux et constatait qu'on aurait pu croire que tout comme pour son camarade il ne portait pas de dispositif de chasteté et qu'il était … en forme.

Dispositif trompeur qui s'était voulu tellement invisible qu'on pouvait quelquefois douter de sa présence. Pas pour le porteur toutefois, lui ne l'oubliait jamais. Antoine le sentait son dispositif, pas de douleur, pas de gêne mais il ne sentait que ça. C'était une intense pression frustrante. Il sentait aussi son anus se contracter et se détendre, appréhension de la suite de la soirée, crainte que Bryan ne soit monté de la bite comme il l'était du reste de son corps, énorme …

C'était peut être aussi tout simplement l'espoir, précisément l'espoir qu'il soit monté de la bite comme du reste de son corps … Antoine en a vu d'autres vous savez.

Les deux hommes s'étaient assis sur le sable, il fallait rester sage un minimum, il y a des caméras de sécurités et ils pourraient faire jaser, même si le sérieux du parc garantissait que rien n'en ressortirait.

La main de l'un se posait sur la cuisse de l'autre, une main caressait un dos puis une épaule et de nouveau des baisers se partageaient avec douceur, beaucoup de douceur. Bryan à peut être un peu l'aspect d'un ours mais il a la douceur d'un nounours, et pas seulement la fourrure. Les gestes aussi sont doux, ses caresses, son regard, ses lèvres, chez Bryan tout est doux, même sa force.

Antoine était fou de désir, il ne redoutait plus cette fin de soirée, il l'espérait avec de plus en plus d’impatience. Ce n'était plus seulement son cœur qui battait fort, son souffle aussi devenait plus fort. Ils se relevaient d'un mouvement et toujours en se tenant par la main prenaient la route de l'appartement d'Antoine. Ils n'accéléraient pas, ils continuaient leur route, sans se hâter, ils profitaient de ces instants, de cette attente pour pouvoir apprécier encore plus les instants qui suivraient.

Antoine entrait le premier et invitait son ami à entrer en l'entraînant par la main. Là encore il n'y avait aucune hâte. Antoine ouvrait les bouton de la chemise de Bryan avec lenteur, il profitait de chaque secondes pour le caresser et lui donnait un baiser après chaque caresse, la chemise tombait puis c'était Bryan qui à son tour avec une lenteur qui n'avait d'égal que la douceur qu'il y mettait.

Ensuite Bryan ouvrait le ceinturon d'Antoine en prenant bien soin de ne surtout pas toucher son sexe, le plaisir est dans l'attente et l'extase vient plus tard, pas trop mais suffisamment. Le pantalon tombait et deux mains se glissaient sous le caleçon remontaient sur les cuisses puis sur les hanches, les pouces ne passaient qu'à quelques centimètre à peine du dispositif de chasteté d'Antoine puis c'est le caleçon qui tombait à son tour.

Bryan ne bougeait plus, il regardait ce truc et c'est visiblement surpris qu'il levait les yeux ver Antoine.

Bryan : Tu portes ce genre de truc toi ?
Antoine : Bein oui !
Bryan : Tu es passif ?
Antoine : Bein oui !
Bryan : Uniquement ?
Antoine : Je ne vois pas ce que je pourrais faire d'autre !

Bryan éclatait de rire. Et tout en se relevant couvrait le corps d'Antoine de baisers, toujours la même tendresse, toujours la même douceur, la même lenteur. Son dispositif PK se redressait et se balançait par secousse au rythme des battements de son cœur !

Bryan : A toi !
Antoine : Je fais comme toi.

Avec les mêmes gestes Antoine ouvrait le pantalon de son camarade et le laissait tomber. Mais quand le caleçon tombait à son tour c'est Antoine qui regardait le dispositif de chasteté de son ami …

Ces dispositifs il les avait conçus, il savait à quel point ils étaient discrets et pour une fois il regrettait cette réussite. Lui même s'était laissé prendre au piège … Bryan lui portait également un tel dispositif et c'était la taille XL c'est pour ça qu'on pouvait distinctement voir une bosse sous le pantalon.

Antoine relevait les yeux …

Antoine : Toi aussi tu es passif ?
Bryan : ( avec un sourire ) Bein oui !
Antoine : Uniquement ?
Bryan : ( en éclatant de rire ) Je ne vois pas ce que je pourrais faire d'autre !

Antoine ne pouvait se retenir d'éclater de rire. Il se relevait avec la même douceur, la même tendresse que son ami en avait eu ! Quelques instants plus tard ils se retrouvaient enlacés mais maintenant l'étreinte était serrée, ils se tenaient fermement, se caressaient et s'embrassaient.

Antoine : Je suppose que toi non plus tu n'as pas la clé.

Bryan faisait non de la tête. Les caresses redoublaient plus douces et plus fortes, plus lentes et plus pressantes …

Bryan : Je ne m'y attendais pas.
Antoine : Moi non plus, j'aurais jamais pensé qu'un jour je ne devinerais pas la présence d'un de ces trucs.
Bryan : Il était doué le mec qui a conçu ces trucs, comme tu dis.
Antoine : Je suis d'accord avec toi … C'est moi ! …


Antoine regardait le dispositif de son camarade …

Antoine : C'est ballot tout de même !
Bryan : Alors on fait quoi ?
Antoine : Câlin !

Sans jouets, avec tous les deux un dispositif de chasteté, c'est à peu près tout ce qu'ils pouvaient faire ...

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